Tempus Foggett. Je ne veux pas nommer le post autrement car cligne à peine de l’oeil et on est en plein mois de juin comme un mec qui ne veut pas ça et les jours, les semaines et les mois passent à une vitesse qui ne s’arrête jamais Surprends-moi. mois.
Fini l’éternel, interminable, insondable mois de janvier pour beaucoup de gens… pour moi, c’est un mois de plus car chaque jour, ça passe très, très vite, ce qui me fait peur.
Rappelez-vous quand vous étiez un enfant qui attendait trois jours était de trois ans, ou quand vous vouliez quelque chose, ils vous ont dit « d’attendre que ce soit fini » et vous avez attendu et attendu, le temps sur l’horloge ne comptait pas. .. À présent? Nous vivons à la vitesse de la lumière, achetant constamment du bruit, nous arrêtant constamment, respirant, observant, ressentant et déconnectant, même pendant des heures…
J’ai l’impression que la vie s’écoule et je veux en être consciente sans en rater aucun détail, mais en même temps, je veux rater quelque chose parce que ça veut dire que je vis l’instant en pleine et absolue conscience, paradoxe ! réel?
Néanmoins, je vous souhaite à tous mes meilleurs vœux pour ce mois qui vient de commencer, prélude à l’été que nous souhaitons tous, après ces deux années étranges, bizarres, ou comme vous voulez l’appeler, Nous méritons bien cela : n’importe quel mot est plus que permis.
Un câlin très fort et heureux ami de juin.